Je ne le pense plus.
Je ne suis pas capable d'être juste heureuse, je ne suis plus capable.
C'est sans doute ça grandir, quitter la quiétude de la jeunesse, atteindre l'âge certain des remises en question, des doutes, des soucis. Avec les cheveux blancs et les rides arrivent la désillusion du bonheur.
C'est peut-être juste moi remarque. Faut dire que personne ne m'a appris à être heureuse (ben oui, la faute de ma maman...merci Freud!). Je ne sais pas comment faire. Quand ça va trop bien, je me trouve une maladie, un drame interne, une remise en question. Quand ça va trop bien c'est immanquablement parce qu'un malheur va arriver. Quand ça va trop bien, c'est louche.
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