Mine de rien, je suis là.
Comme les autres.
Le 1 juillet.
Mais où étais-je?
Quelque part dans le confort du silence.
Celui qui ne nous oblige à rien.
Et qui, pratique, ne demande aucun compte.
Quelque part, aussi, dans un tourbillon de fin d'année.
La mienne, celle de mon chum, celle des enfants.
Des petits deuils de fin d'étape teintés de promesses de renouveau.
Et pour rajouter au tourbillon.
Quelque part entre mes peurs, mes pleurs, mes doutes, mes espoirs.
Rien de bien important dans le fond.
L'important étant que j'y suis.
Mine de rien.
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