Je voudrais t'envoyer chier.Tellement!
Rire de tes humeurs abracadabrantes.
Faire fi de tes airs bêtes.
Me foutre de tes envies.
Te balayer dans un coin de ma vie.
Le coeur léger.
J'aurais aimé être, des fois, juste un peu, celle qui ignore
J'aurais voulu être celle que tu cherches, que tu espères, que tu tentes de séduire encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore.
J'aurais aimé avoir un autre rôle.
Tiens, celui de la mégère.
J'aurais bien aimé.
Être.
Un hérisson. Une tortue. Un truc avec une carapace qui a de l'allure.
Dure.
Résistante.
Stoïque.
J'aurais voulu ne dépendre de rien.
J'aurais voulu ne jamais m'effondrer, ne jamais espérer, ne jamais attendre.
J'aurais voulu, enfin, cesser de me mépriser de tomber encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore.
Pour toi.
Je serais éternellement une femme de marin.
Ou peut-être pas.
lundi 30 juillet 2012
vendredi 20 juillet 2012
Revenir?
Mais que faire avec ce blogue?
Je ne suis plus la même et je suis pareille tout à la fois.
Revenir?
J'ai l'impression de n'être jamais vraiment partie mais d'être encore ailleurs, tout à la fois.
J'ai envie d'écrire et de raconter.
J'ai envie de me taire.
Je crois que je vais repartir sous un autre nom.
Me reperdre dans la masse pour mieux me, te, nous, se, retrouver.
La vie, l'amour, le sens, la foi, l'équilibre et la folie.
Je me respire.
Je ne suis plus la même et je suis pareille tout à la fois.
Revenir?
J'ai l'impression de n'être jamais vraiment partie mais d'être encore ailleurs, tout à la fois.
J'ai envie d'écrire et de raconter.
J'ai envie de me taire.
Je crois que je vais repartir sous un autre nom.
Me reperdre dans la masse pour mieux me, te, nous, se, retrouver.
La vie, l'amour, le sens, la foi, l'équilibre et la folie.
Je me respire.
samedi 4 février 2012
5
Le concile de pierre, Jean-Christophe Grangé
Je pensais l'avoir déjà lu et finalement, non.
Un début vraiment pas mal. Une bonne intrigue même si le personnage principal de la super femme championne d'art martial est un peu (beaucoup) éculé.
Mais tout se gâte à mi-chemin. On se retrouve alors dans un thriller fantastique à la sauce ésotérique avec des chamans et des gens qui se transforment en animaux, à la fin. Moi qui déteste ce genre, j'ai été servie! Double yark!
Je pensais l'avoir déjà lu et finalement, non.
Un début vraiment pas mal. Une bonne intrigue même si le personnage principal de la super femme championne d'art martial est un peu (beaucoup) éculé.
Mais tout se gâte à mi-chemin. On se retrouve alors dans un thriller fantastique à la sauce ésotérique avec des chamans et des gens qui se transforment en animaux, à la fin. Moi qui déteste ce genre, j'ai été servie! Double yark!
vendredi 3 février 2012
Pense-bête
Je vais continuer d'écrire ici les livres que je lis...
Parce que c'est une bonne idée, je trouve.
Parce que je n'ai pas une très bonne mémoire pour les titres et que je trouve que c'est bien pratique de laisser une trace de ses lectures, aussi petite soit-elle.
Parce que je déteste commencer à lire un livre que j'ai déjà lu.
1: Le silence du bourreau, François Bizot
Tiens, un livre en français à l'auberge de Bagan. Qui plus est, un livre sur le Cambodge ou plutôt sur le procès de Douch, accusé de crime contre l'humanité, mais qui a cependant fait libérer Bizot alors qu'il était détenu par les Khemrs rouges.
D'emblée le ton de l'auteur me tape sur les nerfs. Il me semble condescendant et égocentrique. Il parle beaucoup de lui, ce qui est totalement inintéressant. J'ai fini le bouquin en sautant des passages et en baillant beaucoup.
2: Les anonymes de Roger Jon Ellory
Encore un "don" de l'hôtel. Un roman policier pas si pire mais moi, les conspirations mondiales avec la CIA qui manipule tout le monde... bof!
3. Maggie la rebelle, Nora Roberts
Un don de ma copine suisse Florence. Un roman d'amour ultra cucul. Je peux comprendre qu'il y ait autant de femmes malheureuses en couple... si elles lisent toutes ces fadaises et qu'elles attendent après le même genre de prince charmant que l'on voit dans ce style de livre! Mais, héhé, je l'ai lu pareil jusqu'à la fin!
4. Le portail, François Bizot
Bon, je suis concept et cela fait deux fois que la hasard me place, en moins d'un mois, avec un livre du même auteur entre les mains! Plus intéressant que le premier, ce livre raconte l'emprisonnement de Bizot et le départ des français du Cambodge.
Parce que c'est une bonne idée, je trouve.
Parce que je n'ai pas une très bonne mémoire pour les titres et que je trouve que c'est bien pratique de laisser une trace de ses lectures, aussi petite soit-elle.
Parce que je déteste commencer à lire un livre que j'ai déjà lu.
1: Le silence du bourreau, François Bizot
Tiens, un livre en français à l'auberge de Bagan. Qui plus est, un livre sur le Cambodge ou plutôt sur le procès de Douch, accusé de crime contre l'humanité, mais qui a cependant fait libérer Bizot alors qu'il était détenu par les Khemrs rouges.
D'emblée le ton de l'auteur me tape sur les nerfs. Il me semble condescendant et égocentrique. Il parle beaucoup de lui, ce qui est totalement inintéressant. J'ai fini le bouquin en sautant des passages et en baillant beaucoup.
2: Les anonymes de Roger Jon Ellory
Encore un "don" de l'hôtel. Un roman policier pas si pire mais moi, les conspirations mondiales avec la CIA qui manipule tout le monde... bof!
3. Maggie la rebelle, Nora Roberts
Un don de ma copine suisse Florence. Un roman d'amour ultra cucul. Je peux comprendre qu'il y ait autant de femmes malheureuses en couple... si elles lisent toutes ces fadaises et qu'elles attendent après le même genre de prince charmant que l'on voit dans ce style de livre! Mais, héhé, je l'ai lu pareil jusqu'à la fin!
4. Le portail, François Bizot
Bon, je suis concept et cela fait deux fois que la hasard me place, en moins d'un mois, avec un livre du même auteur entre les mains! Plus intéressant que le premier, ce livre raconte l'emprisonnement de Bizot et le départ des français du Cambodge.
mardi 3 janvier 2012
54-55-56
Juste pour le plaisir de les noter, avec du retard, dans mes lectures de 2011!
54
L'armée furieuse, Fred Vargas
Le plus "bof" des Fred Vargas avec une fin tirée par les cheveux comme je ne les aime pas.
55
Paul au parc, Michel Rabagliati
Un peu déçue malgré que je sois une fan. Je ne sais pas, il manque quelque chose, c'est un peu vide... j'attends le prochain!
56
Vacances dans le coma, Frédéric Beigbeder
J'ai aimé et j'ai pas aimé. C'est intelligent et con exprès, je pense.
54
L'armée furieuse, Fred Vargas
Le plus "bof" des Fred Vargas avec une fin tirée par les cheveux comme je ne les aime pas.
55
Paul au parc, Michel Rabagliati
Un peu déçue malgré que je sois une fan. Je ne sais pas, il manque quelque chose, c'est un peu vide... j'attends le prochain!
56
Vacances dans le coma, Frédéric Beigbeder
J'ai aimé et j'ai pas aimé. C'est intelligent et con exprès, je pense.
mercredi 7 décembre 2011
49-50-51-52-53
49
Dis, tu m'écoutes quand je te parle? Nicole de Buron
Je l'avais déjà lu et je ne m'en souvenais pas. Nicole de Buron m'a déjà fait rire, jadis (surtout avec son roman "Dis moi c'est qui ce garçon"), mais là, elle est un peu redondante et prévisible. C'est l'histoire romancée et humoristique de sa vie familiale. Même si j'ai un bon parti pris pour l'auteur (nous portons toutes les deux le même parfum depuis 25 ans), cette lecture fut décevante et je dirais même plus, ennuyante.
50
Hey, Nostradamus, Douglas Coplan
Un roman en anglais. C'est presque une première pour moi. Un roman avec quatre narrateurs différents ayant vécu, de plus ou moins près, une tuerie dans une école secondaire. J'ai adoré la première partie, bien aimé la seconde et décroché un peu pour les deux dernières. C'était spécial de lire en anglais car ça m'obligeait à lire beaucoup plus lentement. J'ai l'impression aussi que, à cause de la langue, je suis moins dans le roman et dans l'émotion et un peu plus détachée de l'histoire.
51
Marie-Antoinette, Stefan Zweig
Le personnage historique de Marie-Antoinette ne m'a jamais vraiment fasciné mais j'aime vraiment Stefan Zweig et j'ai été surprise de voir qu'il s'était penché sur la vie de la dernière reine de France. C'est une biographie qui s'est révélée vraiment fascinante et que j'ai dévoré comme un roman policier. C'est bien écrit, sobre, sans jamais tomber dans l'anecdotique et ça nous éclaire sur tout ce qui a mené à la révolution française. À lire!
52
Une fâcheuse histoire, Dostoievski
Une petite nouvelle qui trainait sur mon ipod et qui se laisse lire facilement. La fin nous laisse un peu en plan et j'ai comme l'impression de ne pas avoir tout compris.... un haut fonctionnaire qui, par hasard, s'arrête aux noces d'un de ses subalternes. Il va faire un fou de lui et finir la soirée ivre mort. C'est vraiment bien si la fin n'était pas si... ordinaire? Va falloir que je continue d'y penser un peu.
53
Mal d'enfant, Élisabeth Georges
Un roman policier qui se passe en Angleterre. Rien de transcendant mais assez prenant pour se coucher tard afin de savoir la fin. L'intrigue est un peu tirée par les cheveux mais c'est un potable roman à lire dans un avion ou un train, par exemple.
Dis, tu m'écoutes quand je te parle? Nicole de Buron
Je l'avais déjà lu et je ne m'en souvenais pas. Nicole de Buron m'a déjà fait rire, jadis (surtout avec son roman "Dis moi c'est qui ce garçon"), mais là, elle est un peu redondante et prévisible. C'est l'histoire romancée et humoristique de sa vie familiale. Même si j'ai un bon parti pris pour l'auteur (nous portons toutes les deux le même parfum depuis 25 ans), cette lecture fut décevante et je dirais même plus, ennuyante.
50
Hey, Nostradamus, Douglas Coplan
Un roman en anglais. C'est presque une première pour moi. Un roman avec quatre narrateurs différents ayant vécu, de plus ou moins près, une tuerie dans une école secondaire. J'ai adoré la première partie, bien aimé la seconde et décroché un peu pour les deux dernières. C'était spécial de lire en anglais car ça m'obligeait à lire beaucoup plus lentement. J'ai l'impression aussi que, à cause de la langue, je suis moins dans le roman et dans l'émotion et un peu plus détachée de l'histoire.
51
Marie-Antoinette, Stefan Zweig
Le personnage historique de Marie-Antoinette ne m'a jamais vraiment fasciné mais j'aime vraiment Stefan Zweig et j'ai été surprise de voir qu'il s'était penché sur la vie de la dernière reine de France. C'est une biographie qui s'est révélée vraiment fascinante et que j'ai dévoré comme un roman policier. C'est bien écrit, sobre, sans jamais tomber dans l'anecdotique et ça nous éclaire sur tout ce qui a mené à la révolution française. À lire!
52
Une fâcheuse histoire, Dostoievski
Une petite nouvelle qui trainait sur mon ipod et qui se laisse lire facilement. La fin nous laisse un peu en plan et j'ai comme l'impression de ne pas avoir tout compris.... un haut fonctionnaire qui, par hasard, s'arrête aux noces d'un de ses subalternes. Il va faire un fou de lui et finir la soirée ivre mort. C'est vraiment bien si la fin n'était pas si... ordinaire? Va falloir que je continue d'y penser un peu.
53
Mal d'enfant, Élisabeth Georges
Un roman policier qui se passe en Angleterre. Rien de transcendant mais assez prenant pour se coucher tard afin de savoir la fin. L'intrigue est un peu tirée par les cheveux mais c'est un potable roman à lire dans un avion ou un train, par exemple.
vendredi 25 novembre 2011
47-48
Je profite de la bibliothèque française de Vientiane pour m'avancer dans ce défi.
47
Constat d'accident et autres textes, Paul Auster
Une petite plaquette regroupant quelques textes de Paul Auster, un auteur que j'aime vraiment beaucoup et que je n'avais pas lu depuis un bout de temps.
Des textes intéressants et d'autres moins, mais tous sont bien écrits et me donne le goût d'aller derechef lire un autre truc de cet auteur.
48
Sans laisser d'adresse, Harlan Coben
Un policier léger de Coben que je n'avais pas lu et qui m'a un peu réconcilié avec cet auteur qui m'avait lassé dans ses derniers romans. Une lecture facile et captivante dans laquelle on retrouve avec plaisir les mêmes protagonistes que dans les autres romans. Un humour léger et souvent "ordinaire" mais je crois que cela tient surtout à la faiblesse de la traduction.
47
Constat d'accident et autres textes, Paul Auster
Une petite plaquette regroupant quelques textes de Paul Auster, un auteur que j'aime vraiment beaucoup et que je n'avais pas lu depuis un bout de temps.
Des textes intéressants et d'autres moins, mais tous sont bien écrits et me donne le goût d'aller derechef lire un autre truc de cet auteur.
48
Sans laisser d'adresse, Harlan Coben
Un policier léger de Coben que je n'avais pas lu et qui m'a un peu réconcilié avec cet auteur qui m'avait lassé dans ses derniers romans. Une lecture facile et captivante dans laquelle on retrouve avec plaisir les mêmes protagonistes que dans les autres romans. Un humour léger et souvent "ordinaire" mais je crois que cela tient surtout à la faiblesse de la traduction.
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